L'institut EgaliGone

L'institut EgaliGone

Organisations civiques et sociales

Fille ou garçon, des stéréotypes en moins, des choix en plus !

À propos

L’institut EgaliGone est une association loi 1901 créée en 2010 à Bron près de Lyon pour encourager le développement égalitaire des filles et des garçons dès la petite enfance depuis la région lyonnaise. Il vise à développer la capacité des personnes à se déterminer librement, en se détachant des conditionnements sur les places et les rôles sexués dans la société. Projet associatif d’intérêt général, il a été initié dans un premier temps sur le Grand Lyon, puis est amené à se développer en Auvergne-Rhône-Alpes, voire au niveau national, en lien avec un réseau de partenaires publics et privés concernés par le monde de l’enfance et par les implications de l’éducation dans la vie adulte.

Site web
http://egaligone.org
Secteur
Organisations civiques et sociales
Taille de l’entreprise
1 employé
Siège social
Lyon
Type
Non lucratif
Fondée en
2010

Lieux

Employés chez L'institut EgaliGone

Nouvelles

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    1 430  abonnés

    Vincent Patigniez, enseignant documentaliste et auteur d'un ouvrage fort documenté pour accompagner les ados éditions Double ponctuation, partage très utilement ses ressources pour agir en établissement scolaire. Merci !

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    Formateur égalité #genres #EAS / Membre de l'Observatoire acad. de prévention des LGBT+phobies / Enseignant documentaliste / Auteur "Accompagner la construction sexuelle & de genre chez les ados" -Double Ponctuation 2023

    🧑💻 Finalisation de mon intervention "Faire égalité à l’école : permettre à chaque jeune d’être soi et de vivre sereinement" 👉 Soirée / événement au Munaé #17mai - "Jeux et outils pédagogiques pour lutter contre les LGBTIphobies" https://lnkd.in/eUbmeiG8

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    Voir le profil de Anne-Pascale PARIS, visuel

    responsable artistique le lien théâtre

    Spectacle sur les violences éducatives ordinaires écrit et joué par une comédienne exceptionnelle. A voir et à soutenir en toute confiance. Emilie ALFIERI

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    Comédienne - théâtre - cinéma - voix & doublage

    J'ai le très grand plaisir de vous annoncer que mon seule-en-scène "L'histoire de la fille d'une mère qui devient la mère d'une fille qui ne sera pas mère" est programmé cette année au Festival OFF d'Avignon au Théâtre des Lila's ! Afin de soutenir ce projet exceptionnel, la compagnie Les Exaltées lance une campagne de mécénat culturel. Le mécénat culturel est un des leviers indispensables à la pérennisation du projet artistique d’une compagnie. Pour une entreprise, quel que soit son statut (SAS, SARL, microentreprise...) le mécénat culturel répond à des enjeux forts sur différents volets : montrer son engagement sociétal en prouvant son intérêt pour des questions et sujets contemporains essentiels, susciter une émulation en interne en impliquant les salarié.es dans la démarche, contribuer à pérenniser les structures qui défendent le spectacle vivant dans toutes ses dimensions, soutenir la vitalité de la création artistique... Une campagne en ligne a été créée pour présenter le projet et en suivre l'évolution : https://lnkd.in/dKfcGVst Si vous souhaitez recevoir le dossier mécénat complet par mail, merci d'adresser directement votre demande au bureau de la compagnie à l'adresse suivante : compagnielesexaltees@gmail.com Un très grand merci pour votre relais et votre soutien ! A très bientôt.. #mecenatculturel #mecenatdentreprise #festivaloffavignon #soutenirlacreation #seuleenscène #spectaclevivant #partenairesfinanciers #violenceeducativeordinaire #heritagefamilial #transmissionparentale #parentalité #maternité #reductionfiscale #valorisation #federer #engagementsocietal #santépublique #intérêtgénéral

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    Voir le profil de Muriel SALLE, visuel

    Maîtresse de conférences. Conférencière. Experte en études de genre et humanités médicales. TedX Speaker.

    Vendredi prochain 17 Mai je serai à l'UNCU à l'invitation de Rachel Roudelle pour une intervention autour de mon ouvrage à paraître en juin chez LES SPORTIVES, dans la jolie collection dirigée avec brio par Julie Gaucher. 🤔 Le sujet : "les règles chez les sportives". Et je ne vous parle pas des règles du jeu bien des menstruations, ragnagnas et autres périodes, ours, roufles, ragnoufs, trucs, machins, lunes ou époques, carolines ou coquelicots. Et oui, il y a mille manières de les appeler. Mais le monde sportif semble découvrir le sujet. 💡 Le monde du sport intègre les femmes. Les femmes ont leurs règles. Le monde du sport découvre donc les règles. CQFD 😉 👉🏻 Alors l'INSEP - Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance lance un programme d'études sur le sujet en 2021. Les shorts de certaines équipes de foot ⚽ passe au bleu marine (équipe féminine d'Angleterre et de France ou Manchester City) ou au bordeaux (West Bromwich Albion). Wimbledon 🎾 ne se joue plus en total look blanc depuis l'année dernière. Bref, ça cogite... Les championnes sont-elles en train de "briser le dernier tabou du sport" ainsi que le titrait L'EQUIPE Magazine en 2017 ? Pas si sûr... ❓ Pourquoi cette occultation persistante ? Que nous dit-elle de la place des femmes dans le monde sportif ? La médecine du sport n’a-t-elle vraiment jamais rien dit des règles et des cycles menstruels ? Plus encore que la fin d’un tabou, n’assiste-t-on pas, plutôt, à une revendication nouvelle de la part des sportives pour la prise en compte de cette spécificité féminine qui pourrait peut-être même – qui sait ? – être un levier de performance ?  Pour le savoir RDV vendredi matin à l'UNCU. Mon intervention fait partie d'un vaste programme. Tous les détails dans le lien en premier commentaire. Aurélie Bresson 🎤 CEO 🗞️Les Sportives Media et Editions Julie Gaucher Béatrice Barbusse Mona Pantel Isabelle Jouin Antoine Breau Tiphaine Mériot Aurélien Leygues Marie-Françoise Potereau Sandrine Lemeiter Amélie Fabre Sophie Palisse Thierry LANDRON Marjorie Mayans Virginie Nicaise Cécile Ottogalli-Mazzacavallo Marine Romezin Marion MEYNET 🏉 Sophie Pouget Pierre-Yves Ginet Florence Alix-Gravellier 🎾 Melina Robert-michon Mélissa PlazaNicole ABARMarie-Sophie Obama 🏀 Paoline Salagnac 🏀

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    471  abonnés

    📚 « Ton sexisme, on ne veut plus le lire », deuxième livraison ! Aujourd'hui, je m'intéresse à un motif bien particulier : le fait de mettre en scène un personnage féminin qui est observé et / ou suivi à son insu... _____ Comme vous le savez peut-être, je dévore de la littérature jeunesse et, de temps en temps (ok, plus souvent que ce qu'on pourrait imaginer), j'ai envie de m'arracher les cheveux ou de mordre dans le coussin le plus proche. La raison ? Des tropes, des expressions, des tournures de phrase, des petits mots qui suintent le sexisme. Bien sûr, je n'y vois pas une volonté de l'auteur·e d'écrire des bouquins particulièrement discriminants (en général, mieux vaut éviter). Le sexisme ça s'intègre, ça s'ingère, souvent à notre insu, et un beau jour ça ressort sur papier bouffant. C'est là, d'habitude, que je m'étrangle. Oui, le hic, c'est que même s'il s'agit d'un sexisme ordinaire purement inconscient, ça reste du sexisme qu'on refourgue ni vu ni connu à des enfants et des ados qui vont eux aussi s'en imprégner à leur tour. Bref, le serpent se mord la queue. Pour cette raison, j'ai décidé de lancer la rubrique ci-dessous. Elle vise à soulever quelques points problématiques que je rencontre fréquemment dans mes lectures 👇 Et vous, quels sont les tropes et les expressions que vous ne pouvez plus lire ? #littératurejeunesse #livrepourenfant #égalité #stéréotypes #égalitéfillesgarcons

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    1 430  abonnés

    Le congé de naissance, voici ce que Parents & Féministes en pense : sonnette d'alarme.

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    1 540  abonnés

    Congé de naissance : des annonces alarmantes qui ne vont pas dans le sens de l’égalité femmes-hommes. On en sait plus sur le futur congé de naissance. Pas de bonne surprise : le congé de paternité et d’accueil du jeune enfant ne va pas être étendu. Ainsi, le gouvernement assume clairement de maintenir un modèle qui fabrique et entretient, dès la naissance, l’inégalité des responsabilités parentales. Ce positionnement conservateur, à rebours des dynamiques européennes, décrédibilise le discours plus général du gouvernement sur la responsabilité parentale et paternelle. Le nouveau congé de naissance durera trois mois par parent (contre 6 ou 24 mois actuellement), indemnisé à hauteur de 50% du salaire (brut ou net ?). 👉 La promesse d’un congé “plus court et mieux indemnisé” se transforme en congé beaucoup plus court et moins mal indemnisé. Trois mois, c’est moins que ce qui avait été envisagé jusqu'à présent. Une indemnisation à hauteur de 50% du salaire ouvre la voie à des inégalités entre parents : les salarié.e.s les mieux protégé.e.s sur le marché du travail bénéficieront de maintiens de salaire par leurs employeurs, contrairement aux personnes les plus précaires ou moins bien insérées dans l’emploi. Il y a fort à parier que les pères ne s’empareront pas massivement de ce nouveau congé, qui n’aura donc pas d’effet majeur sur l’égalité entre les femmes et les hommes. En bas de l’échelle des salaires, les pères les moins protégés professionnellement continueront d’être empêchés de prendre leur congé de paternité et d’accueil du jeune enfant, et peu incités à prendre un congé de naissance pénalisant financièrement. En haut de l’échelle des responsabilités, le congé de paternité restera une option et non une responsabilité. Pas un mot dans l’interview sur la crise du secteur de la petite enfance. Or, d’ici à 2027, la CNAF ne prévoit pas d'amélioration sur les modes de garde, et même une légère aggravation de la situation : que feront les 200 000 parents sans solution, à l’issue du congé de naissance ? D’autres questions centrales restent en suspens : 👉 Le nouveau congé de naissance remplacera-t-il ou s’ajoutera-t-il à l’actuel congé parental ? Jusqu’à présent, Aurore Bergé et Sarah El Haïry étaient favorables à un droit d’option. 👉 La durée de trois mois concerne-t-elle uniquement la durée d’indemnisation, ou également la durée du droit à suspendre son contrat de travail ? 👉 Le nouveau congé de naissance permettra-t-il de compenser un passage à temps partiel ? 50% des allocataires de la PrePaRe sont à temps partiel. Le droit au temps partiel après une naissance doit être préservé. A ce stade, on ne peut pas écarter que la réforme sera une nouvelle mesure d’économie budgétaire, comme l’avait été la réforme de 2014-2015. Le gouvernement annonce qu’une nouvelle concertation va être lancée - nous ignorions que la précédente était terminée. Nous appelons à nouveau à ce qu'elle soit ouverte aux associations de défense des droits des femmes.

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    1 430  abonnés

    Comme nous le soulignons dans notre exposition itinérante sur la mise en danger de soi, les conduites à risques sont des comportements très genrés. Et lorsqu'il s'agit de mise en danger sur la route, qui ne concernent pas que soi, mais aussi les autres, ne pas s'interroger sur et ne pas s'attaquer à la socialisation différenciée est irresponsable. Cette campagne est un bel essai. Voyons ce qu'elle va produire. https://lnkd.in/db5XWv_F

    "Conduisez comme une femme" : une nouvelle campagne de sécurité routière tord les préjugés misogynes

    "Conduisez comme une femme" : une nouvelle campagne de sécurité routière tord les préjugés misogynes

    francetvinfo.fr

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    1 430  abonnés

    Sexisme / progressisme : une polarisation observable chez les jeunes, avec un écart qui grandit entre une partie des jeunes hommes et une partie des jeunes femmes.

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    Salomé Saqué Salomé Saqué est un Influencer

    Journaliste, autrice de "Sois jeune et tais-toi" chez Payot

    Merci beaucoup à Quotidien de continuer à me donner cet espace pour m'exprimer sur les jeunes ! Selon le Baromètre 2023 du Sexisme en France, les hommes de 25-34 ans "sont plus nombreux à exprimer des opinions sexistes". Selon le Haut Conseil pour l'Égalité, plus de la moitié des hommes de 24-35 ans en France sont convaincus que l'on s'acharne sur eux : 59% sont persuadés qu'il n'est plus possible de séduire une femme sans être vu comme sexiste. Le rapport du HCE enfin décrit les plateformes numériques comme de "véritables caisses de résonance des stéréotypes de genre". Le HCE a analysé "les 100 contenus les plus vus des principales plateformes" (Youtube, Instagram et TikTok) et constaté que 68% de ces contenus d’Instagram "diffusent des stéréotypes de genre", sur Youtube, cela grimpe à 88%. Les données montrent que la fracture se forme entre les jeunes hommes qui se rangent de plus en plus du côté conservateur, tandis que les jeunes femmes adoptent plutôt des positions progressives. Une polarisation hommes/femmes en ce qui concerne les idées politiques a été observée à l'international dans une dernière étude du Financial Times qui compile des données allant de 1980 à 2024. Aux États-Unis, les données montrent un écart de 30 points de pourcentage entre les hommes et les femmes, après des décennies de similitudes. Cet écart s'est ouvert en seulement six ans. Le mouvement hashtag #MeToo a été un déclencheur important dans cet écart grandissant selon le Financial Times.

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    1 430  abonnés

    Si certain·es doutent encore de la nécessité de s'attaquer au patriarcat : les jeunes filles/femmes vont mal, très mal.

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    Autrice & intervenante sur les violences faites aux femmes

    Extrêmement préoccupant... et résonnant malheureusement avec ce que j'entends dans mes interventions en collège et lycée... (lien en commentaire vers la newsletter de La Déferlante) Lorsque j'évoque notamment les scarifications que je me suis infligées au lycée, comme "soulagement" aux violences psychologiques, physiques, verbales et sexuelles que je subissais de la part de mon "copain", les jeunes filles sont très nombreuses à réagir. C'est d'ailleurs souvent par ce biais-là que la parole s'ouvre. Lors d'une intervention avec la police d'Evry devant des Bac Pro le mois dernier, 2 jeunes filles ont ainsi révélé des scarifications puis des faits de violences dans leur couple, notamment sexuelles, qui ont mené à l'ouverture d'un dossier judiciaire. Quelques chiffres : 👉 Entre 2015 et 2022, augmentation de 63 % des hospitalisations des adolescentes âgées de 10 à 14 ans pour tentatives de suicide ou faits d’automutilation, et de 43 % pour les jeunes filles entre 15 et 19 ans. 👉 En 2022, tous âges confondus, les femmes représentaient 64 % des personnes hospitalisées pour tentative de suicide ou automutilation 👉 Entre 2022 et 2023, à l’hôpital de Rennes, 50 % des femmes venant en consultation à l’unité de psychiatrie périnatale ont été victimes d’abus sexuels. La plupart du temps ces violences ont eu lieu pendant leur enfance ou leur adolescence 👉 1 jeune femme sur 6 commencerait sa vie sexuelle par un rapport non consenti (tout n'est évidemment pas expliqué par des violences "conjugales") Isabelle Dréan-Rivette Fabienne Boulard En avant toute(s) Louise Delavier Aurélie Garnier-Brun Elodie TUAILLON-HIBON Muriel Reus

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